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MON AVIS SUR... ... => JE... TU... IL... PAPOTE DE... => Discussion démarrée par: webmaster le 18 Novembre 2017 à 21:27:59



Titre: un enfant mordu au visage par un chien
Posté par: webmaster le 18 Novembre 2017 à 21:27:59




Le petit garçon de 11 ans a déjà subi une opération au visage. La semaine prochaine, il devra retourner à l’hôpital pour avoir une nouvelle greffe de peau. Ce mardi, un jeune Cocherois a été attaqué par un chien qui l’a mordu au visage. «  Mon fils est rentré du collège vers 15 h 30 , raconte la maman qui préfère garder l’anonymat. Il a voulu faire une surprise à sa petite sœur et aller la chercher à l’école qui se situe à deux rues de chez nous. Nous lui avons donné notre autorisation.  »
Le chien attaque deux fois

Peu avant 16 h, le garçon récupère sa sœur comme prévu. Pour rentrer, il doit longer un petit square où les habitants du quartier Belle-Roche ont l’habitude de promener leurs chiens. «  Il nous a expliqué qu’il était passé devant le chien sans que ce dernier ne réagisse. Il était tranquillement dans l’herbe. Mon fils s’est ensuite penché pour ramasser une fleur qu’il voulait donner à son papa. C’est alors que le chien a attaqué, sans raison. »

L’animal noir, aussi grand qu’un labrador, mord une première fois. «  Mon garçon a eu le réflexe de pencher sa tête en arrière. Le chien lui a arraché un bout de peau au niveau du bas du visage. Le chien a attaqué une seconde fois et l’a mordu au menton et à la lèvre jusqu’à la mâchoire.  »
Une opération le soir même

Rapidement alerté, le père emmène seul son fils à l’hôpital Marie-Madeleine. «  Les médecins ont décidé de le transporter toute de suite à Mercy, à Metz , reprend la maman. Il a été opéré le soir même pour tenter une reconstruction du bas de son visage au plus vite.  »

Le lendemain, le couple a déposé plainte auprès de la gendarmerie de Farébersviller qui a ouvert une enquête. «  Une amie a reconnu le chien en question. Il se serait sauvé du jardin d’une maison située non loin de la nôtre. Nous attendons des nouvelles de la gendarmerie. Mais nous voulons que les faits soient connus dans notre quartier. Mon fils était avec d’autres enfants sur le chemin de l’école. Ce qu’il a vécu peut arriver à d’autres.  »